le 7 juillet 2010, j’obtenais l’autorisation du CNRS pour créer l’entreprise Acceptables Avenirs de valorisation des résultats de mes recherches menées depuis 1991 au CNRS.
6 années pour transformer le protototype concert’eau en un produit adapté au marché.
Transférer une innovation dans laquelle s’hybride la technologie et l’ingénierie sociétale sur un marché lui même en émergence est un exercice pour lequel doivent être mobilisées toutes les compétences dont on dispose et toutes celles que l’on a pas. Pour pallier ces manques, de nombreuses structures nous ont accompagné dans ce périple : le CNRS, l’incubateur Midi-Pyrénées, la pépinière Prologue, BPIFRANCE, La Région Midi-Pyrénées, l’Agence de l’Eau Adour-Garonne, l’ANRT, les dispositifs JEI, CIR, et Reactiv’TPE, la BSI, les Pôles de Compétitivité EAU et Aérospace Valley, le cluster Digital Place et les tous les consultants mobilisés à travers ces outils.
Il ne faut pas non plus oublié d’être accompagné :
– par un solide expert comptable, c’est le cas avec le cabinet CAPEX, et un avocat qui veille sur nos intérêts (Cabinet I. Pertica);
– par des partenaires bienveillants (les laboratoires ECOLAB, CERTOP, IRIT), les entreprises Tataragne, EPTEAU, HYDROCONCEPT, AVC.christianvignoles, CLS, INDDIGO, et tout récemment Nuna Expérience.
Aujourd’hui, Acceptables Avenirs semble être sur la rampe de lancement pour sortir de la deathvalley ou Chasm cher à Moore et Wiefels (2002).
Bien évidemment, une entreprise innovante n’est rien sans le potentiel apporté par ses associés et ses collaborateurs ; je profite de cette note pour remercier Adrien, Angeline, Christine, Doriane, Emilie, Matthieu et Nestor.
Au cours de ces 6 ans le CNRS m’a fortement soutenu dans le cadre de la loi sur l’innovation du ministre Claude Allègre. Le dispositif d’accompagnement dont je bénéficiais s’arrête aujourd’hui. Le cordon est coupé.